Je jettes le mouchoir tâché et me relève. Rapidement je me rhabille de la plus noble façon qui soit avant de me soucier de mon compagnon. Je le soutiens alors qu'il tente de se lever, ses jambes sont si flageolantes que je doute qu'il puisse quitter l'école dans cet état. Je le soulève et l'installe sur mon dos en riant presque. Kagami est vraiment tout léger.
- Allez. On va chez moi ! Tu ne peux pas te pointer en cours comme ça.
Je le sens acquiescer contre mon épaule et étouffe un petit rire. J'avoue que je suis fier de la situation. Ainsi je rejoins la berline noir qui nous attend devant Hyeosik et installe Kagami dedans. Bien vite on sera chez moi et on pourra souffler calmement avant de recommencer ce corps à corps.